Encourager l’engagement par la collaboration

Dans le contexte actuel d’évolution rapide du monde des affaires, la capacité d’innover et de s’adapter est primordiale pour pratiquement toutes les entreprises qui cherchent à rester très compétitives. L’un des meilleurs moyens de favoriser le développement et de garantir des stratégies adaptatives est de rassembler les équipes pour qu’elles s’engagent dans une réflexion collaborative. Cet essai se penche sur l’importance de ces réunions, en examinant les avantages qu’elles apportent à la tradition organisationnelle, aux capacités de résolution des problèmes et à la réussite globale de l’entreprise.

Le premier aspect, et peut-être le plus fondamental, de la constitution d’équipes en vue d’une réflexion collaborative est l’instauration d’une culture d’entreprise qui valorise le travail d’équipe et la diversité des points de vue. Lorsque les équipes sont encouragées à se réunir, cela signifie que le point de vue de chaque membre est apprécié. Ce caractère inclusif peut améliorer le moral et renforcer l’engagement des employés, ce qui se traduit par une augmentation du plaisir au travail et des taux de conservation. En outre, une culture collaborative est souvent considérée comme beaucoup plus adaptable, car elle tire parti de l’information et des compétences collectives de sa main-d’œuvre pour naviguer dans les paysages complexes de l’entreprise.

La pensée collaborative encourage fondamentalement la créativité. En rassemblant une sélection variée d’individus, les entreprises peuvent créer un creuset d’idées, où des sentiments non conventionnels sont explorés et où de nouvelles connexions sont établies. Cet assortiment d’idées est crucial pour l’innovation. Par exemple, l’importance accordée par Apple Inc. aux équipes interfonctionnelles a joué un rôle déterminant dans le développement de produits révolutionnaires, tels que l’iPhone et l’iPad, qui ont révolutionné certains secteurs. Lorsque les équipes collaborent, la synthèse de nombreuses perspectives peut déboucher sur de nouvelles solutions qui n’apparaîtraient probablement pas dans un environnement de travail beaucoup plus cloisonné.

La résolution des problèmes est considérablement améliorée lorsque les groupes se réunissent pour réfléchir ensemble. Deux têtes valent mieux qu’une, mais un groupe de têtes, chacune avec des rencontres et des connaissances uniques, peut être transformateur. Ce processus, souvent appelé « brainstorming », permet un solide échange d’idées, où les forces d’un individu peuvent compléter les faiblesses d’un autre, et vice-versa. Par exemple, lors de scénarios de crise tels que la crise financière de 2008, les entreprises qui ont eu recours au brainstorming combiné ont été mieux à même de concevoir des stratégies efficaces pour atténuer les effets de la récession.

En outre, la réflexion collaborative conduit à des processus décisionnels beaucoup plus démocratiques. Lorsque les membres de l’équipe ont leur mot à dire dans les décisions qui affectent leur travail, ils sont plus enclins à adhérer à la vision et à l’orientation de l’entreprise. Cette adhésion est vitale pour la mise en œuvre harmonieuse de stratégies et d’initiatives nouvelles.

Le fait de réunir régulièrement les équipes pour réfléchir ensemble facilite également une circulation plus rapide et plus efficace des connaissances. Les membres compétents de l’équipe peuvent partager leurs informations et leur expertise avec les employés plus récents, ce qui accélère le processus d’intégration et améliore l’ensemble des compétences de l’équipe. Cet environnement d’apprentissage continu peut aider une entreprise à rester en phase avec les développements technologiques et les changements sectoriels, ce qui lui permet de conserver son avantage concurrentiel.

Par exemple, la politique de Google consistant à organiser des « Tech Talks » au cours desquels les employés parlent de leurs connaissances et de leurs innovations n’a pas seulement stimulé le développement individuel, mais a également favorisé une culture de compréhension et d’amélioration continues.

L’échange dynamique d’idées qui a lieu au cours des sessions de collaboration contribuera à renforcer la résilience de l’organisation. En participant régulièrement à la résolution collective des problèmes, les équipes peuvent mieux prévoir les problèmes potentiels et réagir plus rapidement et plus efficacement aux changements imprévus. Cette flexibilité est essentielle à l’ère de l’entreprise caractérisée par la volatilité, le doute, la complexité et l’ambiguïté (VUCA).

Si le regroupement d’équipes en vue d’une réflexion collaborative présente de nombreux avantages, il n’en demeure pas moins que certains problèmes doivent être pris en compte. Il s’agit notamment du risque de pensée de groupe, dans lequel le désir d’harmonie ou de conformité aboutit à un résultat irrationnel ou dysfonctionnel en matière de prise de décision. Il est important que les cadres développent un environnement où la dissidence est encouragée et où les différents points de vue peuvent être exprimés en toute sécurité et avec respect.

En outre, séminaire entreprise la gestion efficace d’une session de collaboration nécessite une facilitation compétente. Les chefs de file doivent s’assurer que les discussions restent ciblées et productives, et que tous les sons sont entendus. Cela peut impliquer des techniques de brainstorming structurées ou l’utilisation d’outils électroniques pour capturer et organiser les conseils.

Réunir des équipes pour engager une réflexion collaborative est plus qu’un simple moyen de générer des conseils ; c’est une méthode stratégique qui améliore la créativité, encourage une culture organisationnelle solide, accélère le transfert des connaissances et développe la résilience. La clé de la réussite de ces efforts réside dans la facilitation efficace de ces réunions, en garantissant un environnement structuré mais ouvert qui encourage la libre circulation des idées. En donnant la priorité et en affinant l’ensemble du processus de réflexion collaborative, les entreprises peuvent non seulement résoudre des problèmes complexes, mais aussi innover et modifier de manière durable et inclusive, en acquérant leur place dans le paysage agressif du marché.

Francis Bacon: de l’art et de la pensée

Francis Bacon, en entier Francis Sausage, vicomte Saint Alban, également appelé (1603-18) Sir Francis Bacon, (né le 22 janvier 1561, York House, centre de Londres, Angleterre-décédé le 9 avril 1626, centre de Londres), seigneur chancelier de Grande-Bretagne (1618-21). Avocat, homme d’État, philosophe et maître de la langue anglaise, il ou elle est rappelé en termes littéraires pour la connaissance mondaine pointue de quelques dizaines d’essais; par des étudiants de formation constitutionnelle pour son énergie en tant que présentateur au Parlement et dans des procès célèbres et en tant que lord chancelier de Jacques Ier ; et intellectuellement en tant que gars qui revendiquait toutes les informations comme sa région et, à la suite d’une enquête magistrale, a rapidement préconisé de nouvelles méthodes par lesquelles l’homme pourrait établir un véritable contrôle sur mère nature pour le confort de sa propriété. Bacon est né le 22 janvier 1561 à York Home of the Strand, à Londres, le plus jeune des deux fils du seigneur gardien, Sir Nicholas Sausage, de son second mariage. Nicholas Sausage, mis au monde dans des circonstances relativement modestes, était devenu le seigneur gardien du grand sceau. Le cousin de Francis par sa mère était Robert Cecil, plus tard comte de Salisbury et principal ministre de la couronne à la fin du règne d’Elizabeth I et au début de celui de James I. De 1573 à 1575, Sausage a été informé au Trinity College de Cambridge, mais sa faible constitution l’a poussé à ressentir une mauvaise santé là-bas. Son dégoût pour ce qu’il a appelé la philosophie aristotélicienne «infructueuse» a commencé à Cambridge. De 1576 à 1579, Bacon est en France en tant que membre du paquet de l’ambassadeur d’Angleterre. Il a été rappelé brusquement à la suite de la mort inattendue de son père, qui lui a laissé relativement peu d’argent. Bacon est resté financièrement embarrassé pratiquement jusqu’à sa mort. En 1576, Sausage avait été reconnu comme un « ancien » (gouverneur principal) de Gray’s Inn, l’un des 4 Inns of Court qui offraient comme institutions de formation légale, à Londres. En 1579, il s’y installe et, juste après être devenu avocat en 1582, progresse au fil du temps avec les postes de spectateur (conférencier à l’auberge), de conseiller (membre senior de l’auberge) et de conseil de la reine (à partir de 1603 roi) extraordinaire à gens d’avocat général et procureur de base. Même une carrière légitime aussi efficace que celle-ci, néanmoins, n’a pas réussi à satisfaire ses ambitions gouvernementales et philosophiques. Sausage s’est occupé du tract « Temporis Partus Maximus » (« La plus grande partie du temps ») en 1582 ; il n’a pas réussi. En 1584, il siège au Parlement de Melcombe Regis dans le Dorset et représente par la suite Taunton, Liverpool, le comté de Middlesex, Southampton, Ipswich et le Collège de Cambridge. En 1589, une « lettre de conseils » envers la princesse ainsi qu’une publicité touchant les controverses de l’Église de Grande-Bretagne soulignaient ses intérêts gouvernementaux et démontraient un engagement équitable du potentiel gouvernemental en raison de leur sang-froid et de leur état d’esprit à réconcilier. En 1593, ses espoirs politiques se heurtèrent à un revers : il avait pris position contre la demande accrue de subventions du gouvernement pour aider à faire face aux coûts de la guerre contre l’Espagne. Elizabeth s’est offusquée et Bacon a été en disgrâce pendant plusieurs années essentielles alors qu’il y avait des chances d’avancement légal. Pendant ce temps, à un moment donné avant juillet 1591, Bacon a fait la connaissance de Robert Devereux, le jeune comte d’Essex, qui était un favori de la reine, même s’il était toujours en disgrâce avec elle pour son mariage non autorisé avec la veuve de Sir Philippe Sidney. Bacon remarqua chez le comte « l’instrument le plus apte à faire du bien à l’État » et offrit à Essex les conseils amicaux de l’homme le plus mûr, le plus sage et le plus délicat. Essex a fait son possible pour apaiser la reine, et lorsque le bureau du procureur général s’est vidé, il a soutenu avec enthousiasme mais sans succès l’État de Bacon. D’autres recommandations d’Essex pour que les meilleurs lieux de travail soient conférés à Saucisse ont également été infructueuses. En 1598, l’échec d’Essex dans un voyage contre les navires espagnols le rendait plus difficile à contrôler; et même si les efforts de Bacon pour rediriger ses énergies vers l’Irlande, où les individus étaient en révolte, ne se sont avérés que trop fructueux, Essex a perdu la tête lorsque les choses ont mal tourné et qu’il a renvoyé vers les ordres. Saucisse a définitivement fait ce qu’il pouvait pour résoudre les problèmes, mais a simplement offensé chaque côté; en juin 1600, il se trouva parce que le savant conseil de la reine participait à l’épreuve informelle de son patron. Essex ne lui en voulait pas et peu de temps après sa libération, il était à nouveau dans des conditions amicales avec lui. Mais juste après la tentative avortée d’Essex en 1601 d’obtenir la princesse et de faire pression sur son renvoi de ses concurrents, Saucisse, qui ne savait rien de l’affaire, considérait Essex comme un traître et a rédigé le rapport officiel sur l’affaire. Ceci, néanmoins, a été grandement modifié par d’autres avant le bulletin.